At Eternity’s Gate
Présentation :
At Eternity’s Gate est un film américano-britannico-français réalisé par Julian Schnabel, sorti en 2018. Il s’agit d’une biographie sur le peintre Vincent Van Gogh.
Il a été présenté à la Mostra de Venise 2018.
Le film est dévoué à la mémoire du styliste et grand couturier franco-tunisien Azzedine Alaïa.
Synopsis :
À la fin des années 1880, Vincent Van Gogh s’installe à Arles. Il séjournera ensuite à Saint-Rémy-de-Provence, avant de finir ses jours à Auvers-sur-Oise.
Fiche technique :
- Titre original : At Eternity’s Gate
- Titre québécois de la VOST : À la porte de l’éternité
- Réalisation : Julian Schnabel
- Scénario : Julian Schnabel et Jean-Claude Carrière
- Photographie : Benoît Delhomme
- Musique : Tatiana Lisovkaia
- Montage : Louise Kugelberg et Julian Schnabel
- Son : Jean-Paul Mugel
- Décors : Cécile Vatelot
- Costumes : Karen Muller Serreau
- Effets visuels : Thibaut Granier
- Producteur : Jon Kilik
- Sociétés de production : Iconoclast, Riverstone Pictures, SPK Pictures
- Sociétés de distribution : CBS Films (États-Unis), The Searchers (Belgique)
- Pays d’origine :
Royaume-Uni,
France,
États-Unis
- Genre : drame biographique
- Durée : 110 minutes
- Dates de sortie :
Italie : (Mostra de Venise 2018)
États-Unis :
Québec :
France : (sur Netflix)
Distribution :
- Willem Dafoe (VF : Patrick Chesnais) : Vincent Van Gogh
- Rupert Friend (VF : Anatole de Bodinat) : Théo Van Gogh
- Oscar Isaac (VF : Louis Garrel) : Paul Gauguin
- Mads Mikkelsen (VF : Yann Guillemot) : un prêtre
- Mathieu Amalric (VF : lui-même) : le docteur Paul Gachet
- Emmanuelle Seigner (VF : elle-même) : Madame Ginoux, l’Arlésienne
- Niels Arestrup (VF : lui-même) : un malade
- Amira Casar : Johanna Van Gogh
- Vladimir Consigny (VF : lui-même) : le docteur Félix Ray
- Anne Consigny : une enseignante
- Alexis Michalik : un musicien
- Vincent Perez : le directeur
- Stella Schnabel (VF : Olivia Nicosia) : Gaby
- Laurent Bateau (VF : lui-même) : Joseph Roulin
- Lolita Chammah (VF : elle-même) : une bergère sur la route
- Solal Forte (VF : lui-même) : Gaston
Sources : Wikipedia – At Eternity’s Gate
Où trouver ce film?
Le film est actuellement disponible sur Netflix.
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À ces prix là, on n’hésite plus. D’autant plus que le large éventail de films et séries proposé par Netflix est loin d’être de “seconde zone”, comme on peut parfois le lire sur la toile…
Mr. Turner
Présentation :
Mr. Turner est un film britannique écrit et réalisé par Mike Leigh, sorti en 2014. Il retrace les 25 dernières années de la vie du peintre britannique Joseph Mallord William Turner.
Il a été présenté en compétition au 67e Festival de Cannes où Timothy Spall a reçu le Prix d’interprétation masculine.
Synopsis :
Le film retrace les vingt-cinq dernières années de l’existence du peintre britannique Joseph Mallord William Turner (1775-1851). Artiste reconnu, membre apprécié quoique dissipé de la Royal Academy, il vit entouré de son père , qui est aussi son assistant, et de sa dévouée gouvernante Hannah Danby. Il fréquente l’aristocratie, se rend dans les bordels et nourrit son inspiration par ses nombreux voyages. La renommée dont il jouit ne lui épargne pas les éventuelles railleries du public ou les sarcasmes de l’establishment (la haute société) qui ne comprend pas sa peinture en avance de près d’un siècle sur celle de ses contemporains. À la mort de son père, profondément affecté, W. Turner s’isole. Sa vie change cependant quand il rencontre Mrs Booth, propriétaire d’une pension de famille au bord de la mer à Margate.
Fiche technique :
- Titre français : Mr. Turner
- Réalisation : Mike Leigh
- Scénario : Mike Leigh
- Photographie : Dick Pope
- Musique : Gary Yershon
- Pays d’origine : Royaume-Uni
- Genre : biographie
- Date de sortie :
France : 3 décembre 2014
Distribution :
- Timothy Spall (VF : Hervé Pierre) : J. M. W. Turner
- Paul Jesson (VF : Thierry Bosc) : William Turner, le père de J. M. W. Turner
- Dorothy Atkinson (VF : Clothilde Mollet) : Hannah Danby
- Marion Bailey (VF : Sylvie Genty) : Sophia Booth
- Karl Johnson (VF : Georges Claisse) : M. Booth
- Ruth Sheen (VF : Michèle Simonnet) : Sarah Danby
- Sandy Foster (VF : Pauline Belle) : Evelina
- Amy Dawson (VF : Marlène Goulard) : Georgiana
- Lesley Manville (VF : Muriel Mayette-Holtz) : Mary Somerville
- Martin Savage (VF : Laurent Natrella) : Benjamin Haydon
- Richard Bremmer : George Jones
- Jamie Thomas King : David Roberts
- James Fleet : John Constable
- Joshua McGuire : John Ruskin
- Roger Ashton-Griffiths : Henry William Pickersgill
- James Norton : Francis Willoughby
- Karina Fernandez : Miss Coggins
Sources : Wikipedia – Mr. Turner (film)
Séraphine
Présentation :
Séraphine est un film franco–belge de Martin Provost sorti en 2008. Il conte l’histoire de la peintre autodidacte Séraphine de Senlis (de son vrai nom Séraphine Louis, interprétée par Yolande Moreau), de 1912, année de sa rencontre avec le collectionneur Wilhelm Uhde, à son internement à l’asile psychiatrique, en 19321.
Synopsis :
En 1912, le collectionneur allemand Wilhelm Uhde, premier acheteur de Picasso et découvreur du douanier Rousseau, loue un appartement à Senlis pour écrire et se reposer de sa vie parisienne. Il prend à son service une femme de ménage, Séraphine, 48 ans. Quelque temps plus tard, il remarque chez des notables locaux une petite peinture réalisée sur bois. Sa stupéfaction est grande d’apprendre que l’auteur n’est autre que Séraphine. S’instaure alors une relation poignante et inattendue entre le marchand d’art d’avant-garde et la femme de ménage visionnaire.
Fiche technique :
- Titre : Séraphine
- Réalisation : Martin Provost
- Scénario : Marc Abdelnour et Martin Provost
- Production : Gilles Sacuto et Miléna Poylo
- Distribution : Diaphana Films
- Musique : Michael Galasso
- Décors : Thierry François
- Costumes : Madeline Fontaine
- Photographie : Laurent Brunet
- Son : Philippe Vandendriessche
- Montage : Ludo Troch
- Pays d’origine :
France,
Belgique
- Langue : français, allemand
- Genre : drame
- Durée : 125 minutes
- Dates de sortie :
- au festival du film de Toronto au
Canada
- en
France
- en
Belgique
- au festival du film de Toronto au
- Budget : 3 674 000 euros
- 846 691 entrées au cinéma Français
Distribution :
- Yolande Moreau : Séraphine Louis, dite Séraphine de Senlis, une pauvre femme de ménage de Senlis qui est aussi une artiste-peintre autodidacte de génie
- Ulrich Tukur : Wilhelm Uhde, le collectionneur allemand qui révèle Séraphine
- Anne Bennent : Anne Marie, la sœur de Wilhelm
- Geneviève Mnich : Madame Duphot, chez qui Wilhelm est locataire
- Nico Rogner : Helmut Kolle, le jeune peintre ami de Wilhelm
- Adélaïde Leroux : Minouche, la jeune voisine amie de Séraphine
- Serge Larivière : Duval, chez qui Séraphine fait ses achats
- Françoise Lebrun : la Mère Supérieure
- Corentin Lobet
- Léna Bréban : Sœur Marguerite
- Frédéric Révérend : l’invité du dîner
- Francis Lacloche : le notaire
- Michel Sailly : le livreur
- Marie Noëlle Révérend : la vieille dame du dîner
- Alexandre Révérend : l’ami de Wilhelm qui chante avec lui au piano La Femme aux bijoux.
Sources : Wikipedia – Séraphine (film)
Les Fantômes de Goya
Présentation :
Les Fantômes de Goya (Goya’s Ghosts ; au Québec : Goya et ses fantômes) est un film américano–espagnol réalisé par Miloš Forman, sorti en 2006.
L’histoire, à l’exception d’un cadre historique librement interprété, est une fiction. Ines Bilbatúa et le frère Lorenzo n’ont jamais existé.
Résumé (attention spoiler) :
En 1792, l’Espagne échappe encore aux bouleversements de la Révolution française. Francisco Goya (Stellan Skarsgård) est un peintre renommé, qui, entre autres, fait des portraits pour la famille royale en tant que peintre officiel de la cour. Les caciques de l’Inquisition espagnolesont perturbés par une partie de son travail mais le frère Lorenzo Casamares (Javier Bardem), qui a embauché Goya pour peindre son portrait, le défend devant l’institution, ses peintures se contentant de décrire le Mal. Il recommande par ailleurs le renforcement de l’action de l’Inquisition contre les pratiques anti-catholiques et en est finalement chargé.
En posant pour Goya, Casamares le questionne sur un portrait d’une très belle jeune femme : il s’agit d’Inés Bilbatua (Natalie Portman), fille d’un riche marchand de la région, Tomás Bilbatua. Inés est repérée par des enquêteurs de l’Inquisition dans une taverne. Elle est rapidement convoquée devant le tribunal du Saint-Office de l’Inquisition et est accusée de judaïser en pratiquant en cachette des rituels juifs parce qu’elle n’a pas mangé de porc à la taverne; incrédule devant une telle absurdité, elle se défend en mentionnant qu’elle n’aime simplement pas cette viande. Malgré cela, Inés est mise à la question et torturée par estrapade: évidemment elle avoue tout ce qu’on lui demande d’avouer et est emprisonnée.
Tomás Bilbatua (José Luis Gómez), le père d’Inés, sachant que Goya travaille pour Casamares, demande à celui-là d’interférer auprès de l’inquisiteur. Casamares rend visite à Inés en prison, lui fait croire qu’il va l’aider en passant des messages à sa famille, lui propose de prier de concert mais, porté par son désir, agresse sexuellement Inés. Casamares et Goya sont conviés à dîner chez Tomás Bilbatua car celui-ci veut obtenir la clémence des inquisiteurs en leur faisant un don conséquent. Casamares informe la famille du crime de leur fille et mentionne qu’il sait également qu’un de leurs ancêtres était un juif converti; Bilbatua confirme cela, mais aussi qu’il est le seul à le savoir dans la famille. Le sujet de la “Question” est ensuite abordé et son efficience est défendue par Casamares : il affirme que, si l’accusé est vraiment innocent, Dieu lui donnera la force de nier sa culpabilité et donc qu’une personne qui avoue est forcément coupable. Bilbatua le contredit en affirmant que n’importe qui avouerait n’importe quoi sous la torture ; Goya est d’accord avec lui. Pour le prouver, Bilbatua rédige une déclaration dans laquelle Casamares avoue être un singe et, avec l’aide de ses fils, ne le laisse pas partir à moins qu’il accepte de la signer ; Goya plaide en faveur de Casamares mais doit quitter la maison. L’inquisiteur Casamares est soumis à l’estrapade et, rapidement, il avoue et accepte de signer la déclaration. Bilbatua, tout en lui remettant une importante quantité d’or, promet à Casamares de détruire le document lorsque Inés aura été libérée. Lorenzo Casamares plaide en faveur d’Inés Bilbatua devant sa hiérarchie mais le Grand Inquisiteur, le Père Gregorio (Michael Lonsdale), tout en acceptant l’argent, refuse de la libérer puisqu’elle a avoué. Casamares se rend de nouveau en prison où, lui faisant croire qu’elle va être libérée bientôt, il viole Inés.
N’ayant plus de nouvelles de sa fille, Tomás Bilbatua porte le document à l’attention du roi Charles IV (Randy Quaid), qui en est amusé et qui promet d’aider les Bilbatua. Casamares est désormais une source d’embarras pour l’Église espagnole qui l’arrête et le juge ; il arrive cependant à s’enfuir. L’Église brûle publiquement son effigie – en l’occurrence, son portrait par Goya.
Quinze années ont passé : Goya, devenu sourd, est au faîte de son art et l’armée napoléonienne a envahi l’Espagne, aboli l’Inquisition et libéré les prisonniers de celle-ci. Casamares, qui avait fui vers la France où il avait été séduit par les idées de la Révolution, revient avide de pouvoir: il est même devenu procureur général et doit instruire ses anciens coreligionnaires de l’Inquisition. Le Grand Inquisiteur, le Père Gregorio, est ainsi condamné à mort. Inés, qui a été libérée après quinze années de geôle, a donné naissance à une fille en prison et a quelque peu perdu la raison. Après avoir découvert que toute sa famille a été tuée, elle demande à Goya de l’aider pour retrouver son enfant qui lui avait été enlevée et dont le père est Lorenzo Casamares, ce qui embarrasse celui-ci puisqu’il est marié mais aussi quant à sa position sociale: il envoie Inés dans un asile d’aliénés. Casamares arrive à retrouver la trace de la fille d’Inés dans un orphelinat : elle se nomme Alicia et s’est enfuie plusieurs années auparavant.
Dans un jardin public, Goya tombe par hasard sur une femme nommée Alicia (Natalie Portman) qui ressemble fortement à Inés et qui se livre à la prostitution. Il en informe Casamares et celui-ci, pour se protéger, va proposer à Alicia de lui payer son exil aux États-Unis, ce qu’elle refuse. Goya retrouve Inés et la libère. Casamares procède à l’arrestation d’un groupe de prostituées dans une auberge, dont Alicia, pour les déporter vers l’Amérique. Inés trouve un bébé abandonné et, dans son délire, croit qu’il s’agit de sa propre fille perdue.
Les Britanniques envahissent à leur tour l’Espagne, battent les troupes françaises avec l’aide de la population espagnole, rétablissent la royauté et libèrent les inquisiteurs, dont le père Gregorio. Le groupe de prostituées se retrouve également libre ; Alicia se fait remarquer par un officier britannique. Casamares, en fuite, est arrêté et est ensuite condamné à mort par l’Église et le père Gregorio. Sur l’échafaud, Lorenzo Casamares aperçoit sa fille Alicia au bras d’un officier ainsi qu’Inés dans la foule ; Goya croque une esquisse de la scène. Lorenzo Casamares est garrotté. Alors qu’un chariot emmène la dépouille de Casamares, Inés l’accompagne en lui tenant la main ; Goya suit ce petit cortège.
Fiche technique :
- Titre : Les Fantômes de Goya
- Titre québécois : Goya et ses fantômes
- Titre original : Goya’s Ghosts
- Réalisation : Miloš Forman
- Scénario: Miloš Forman et Jean-Claude Carrière
- Photographie : Javier Aguirresarobe (A.E.C.)
- Montage : Adam Boome
- Costumes : Yvonne Blake
- Direction artistique : Patricia von Brandenstein
- Production : Saul Zaentz
- Dates de tournage : –
- Pays :
États-Unis,
Espagne
- Langue : anglais
- Durée : 114 minutes (1 h 54)
- Format : 1:85 – couleur – Dolby SRD-DTS
- Genre : drame historique
- Dates de sortie :
- en
Espagne
- aux
États-Unis
- en
France
- au
Québec1
- en
Distribution :
- Natalie Portman (VF : Barbara Beretta) : Ines / Alicia
- Javier Bardem (VF : Marc Alfos) : frère Lorenzo Casamares
- Stellan Skarsgård (VF : Dominique Collignon-Maurin) : Goya
- Michael Lonsdale : le père Gregorio
- Jose Luis Gomez : Tomás Bilbatúa, le père d’Ines
- Randy Quaid : le roi Charles IV
- Blanca Portillo : la reine Marie-Louise de Bourbon-Parme
- Mabel Rivera : María Isabel Bilbatúa, la mère d’Ines
- Fernando Tielve : Álvaro Bilbatúa, un frère d’Ines
- Unax Ugalde : Ángel Bilbatúa, un frère d’Ines
- Julian Wadham : Joseph Bonaparte
- Carlos Bardem : un officier français
Sources : Wikipedia – Les fantômes de Goya (film)
Frida
Présentation :
Frida est un film américain de Julie Taymor sorti en 2002. C’est un film biographique qui relate la vie de la peintre mexicaine Frida Kahlo en s’inspirant du livre que lui a consacré Hayden Herrera. Le film a reçu un accueil critique globalement favorable et a été récompensé par plus d’une quinzaine de prix.
Le film raconte les tumultes de la vie de Frida depuis sa vie étudiante, son accident, sa relation puis son mariage tourmenté avec le peintre Diego Rivera, et son œuvre1. De nombreuses références aux tableaux de Frida Kahlo sont présentes dans la mise en scène.
Synopsis :
Frida, alors étudiante et engagée dans sa première relation amoureuse, voit Diego Rivera pour la première fois dans son atelier. Peu après, Frida a un grave accident de bus qui la laisse gravement blessée à 18 ans, la colonne vertébrale brisée et la jambe fracturée en de multiples endroits. Clouée au lit, le corps et les jambes enfermées dans un plâtre, elle commence à peindre pendant sa convalescence. Quelques années après, Frida entame une relation avec Diego Rivera, qui finit par la demander en mariage ; elle dit attendre de lui « de la loyauté, sinon de la fidélité ». Diego trompe Frida à de nombreuses reprises avec des maîtresses, tandis que Frida Kahlo, bisexuelle, connaît plusieurs liaisons avec des hommes et des femmes. Les deux époux font un voyage aux États-Unis durant lequel Frida fait une fausse couche, puis apprend le décès de sa mère. Peu après, à New York, Diego Rivera réalise une fresque murale pour le Rockefeller Center, L’Homme au carrefour. Par la suite, Nelson Rockefeller tente de contraindre Rivera à supprimer un portrait de Lénine qui apparaît dans un détail de la fresque, mais Rivera, fervent communiste, refuse : la fresque est alors détruite.
Quelque temps après, Cristina, la sœur de Frida, rejoint les époux dans leur maison à San Ángel et devient l’assistante de Rivera. Kahlo se rend compte que Cristina entretient une liaison avec Rivera : elle le quitte, puis sombre dans l’alcoolisme. Le couple se réconcilie lorsque Rivera demande à Kahlo d’héberger chez elle Léon Trotski, à qui le Mexique a accordé l’asile politique. Frida devient bientôt la maîtresse de Trotski. Lorsque Rivera s’en rend compte, elle doit partir pour Paris ; à son retour à Mexico, Diego demande le divorce. Peu après, Trotski est assassiné à Mexico. Diego est brièvement suspecté, puis c’est Frida qui est emprisonnée ; Diego l’aide à se faire disculper. Kahlo est peu à peu rattrapée par des problèmes de santé. Elle et Diego finissent par se remarier. Frida Kahlo meurt peu après avoir réalisé une exposition de ses tableaux à Mexico.
Fiche technique :
- Titre : Frida
- Réalisation : Julie Taymor
- Scénario : Clancy Sigal, Diane Lake, Gregory Nava et Anna Thomas basé sur le livre de Hayden Herrera Frida
- Musique : Elliot Goldenthal
- Photographie : Rodrigo Prieto
- Costumes : Julie Weiss
- Montage : Françoise Bonnot
- Production : Salma Hayek
- Société de distribution :
États-Unis Miramax Films ;
France : TFM Distribution
- Budget : 12 000 000 $
- Langue : anglais
- Genre : Biographie
- Durée : 123 minutes
- Dates de sortie : (USA, première), 1er novembre 2002 (Canada), (Belgique), (France)
Distribution :
- Salma Hayek (VF : Anneliese Fromont de Vitis ; VQ : Camille Cyr-Desmarais) : Frida Kahlo
- Alfred Molina (VF : Philippe Faure ; VQ : Luis de Cespedes) : Diego Rivera
- Valeria Golino (VF : Françoise Vallon ; VQ : Marie-Andrée Corneille) : Lupe Marín
- Geoffrey Rush (VF : Bernard Alane ; VQ : Daniel Lesourd) : Léon Trotski
- Edward Norton (VF : Damien Boisseau ; VQ : Antoine Durand) : Nelson Rockefeller
- Diego Luna (VF : Rémi Bichet ; VQ : Renaud Paradis) : Alejandro Gonzalez Arias
- Ashley Judd (VF : Cécile Paoli ; VQ : Natalie Hamel-Roy) : Tina Modotti
- Antonio Banderas (VF : Thibault de Montalembert) : David Alfaro Siqueiros
- Mia Maestro (VF : Ludmila Ruoso ; VQ : Valérie Gagné) : Cristina Kahlo
- Patricia Reyes Spíndola (VF : Paola de Oliviera) : Matilde Kahlo
- Roger Rees (VF : Bernard Crombey ; VQ : Sébastien Dhavernas) : Guillermo Kahlo
- Amelia Zapata : servante
- Alejandro Usigli : professeur
- Fermín Martínez : peintre du bus
- Loló Navarro : infirmière
- Lucia Bravo : Modèle de l’auditorium
- Margarita Sanz : Natalia Trotski
- Omar Rodriquez : André Breton
- Felipe Fulop : Jean van Heijenoort
- Saffron Burrows : Gracie
- Chavela Vargas : La Pelona
- Lila Downs : chanteuse
- Aida López : la femme de ménage de Lupe Marín
Sources : Wikipedia – Frida (film)
Où trouver ce film?
Sur l’iTunes Store à partir de 3,99€ (location SD), 7,99€ (acquisition permanente SD), 3,99€ (location HD), 9,99€ (acquisition permanente HD).
Pollock
Présentation :
Pollock est un film américain réalisé par Ed Harris en 2000.
Synopsis :
La vie de l’artiste américain d’après-guerre Jackson Pollock qui s’est fait connaître du grand public par sa peinture abstraite.
Fiche technique :
- Réalisation : Ed Harris
- Scénario : Susan Emshwiller, Barbara Turner (en), d’après le livre Jackson Pollock : An American Saga de Steven Naifeh (en) et Gregory White Smith
- Directeur artistique : Teresa Mastropiero, Peter Rogness
- Directeur de la photographie : Lisa Rinzler
- Montage : Kathryn Himoff
- Musique : Jeff Beal ; chanson The World Keeps Turning de Tom Waits
- Production : Ed Harris, Fred Berner, Jon Kilik, James Francis Trezza
- Langue : anglais
- Durée: 122 minutes
- Sortie: (France), (USA)
Distribution :
- Ed Harris (VF : Georges Claisse) : Jackson Pollock
- Marcia Gay Harden (VF : Véronique Augereau) : Lee Krasner
- Tom Bower : Dan Miller
- Jennifer Connelly (VF : Sybille Tureau) : Ruth Kligman
- Bud Cort (VF : Michel Prud’homme) : Howard Putzel
- John Heard : Tony Smith
- Val Kilmer (VF : Emmanuel Jacomy) : Willem DeKooning
- Robert Knott : Sande Pollock
- David Leary : Charles Pollock
- Amy Madigan (VF : Martine Meiraghe) : Peggy Guggenheim
- Sally Murphy : Edith Metzger
- Molly Regan : Arloie Pollock
Sources : Wikipedia – Pollock (film)
Où trouver ce film?
Sur l’iTunes Store à partir de 3,99€ (location SD), 7,99€ (acquisition permanente SD), 3,99€ (location HD), 9,99€ (acquisition permanente HD).